Créer un site internet

Blog

  • Les débuts de l'association

    C'est l'année dernière que j'ai soufflé l'idée de créer une association à mes maîtres (oui faut bien que je les aide des fois!)

    On s'est posés calmement et on s'est dit qu'on avait envie de faire quelque chose à notre petit niveau pour agir pour la planète et puis aussi pour les humains et les animaux.

    On a contacté la DIRECTTE ou on nous a bien expliqué que les budgets étaient serrés mais que pour une entreprise d'insertion il devrait pouvoir débloqué un peu de budget. Alors ma maîtresse à longtemps taper sur son ordinateur et le maître lui à compter. On s'est pas mal creuser les neurones un truc à vous rendre chat quoi !

    Puis au bouts de quelques mois on a réussi à sortir un dossier bien ficelé avec tout un tas de mots et de tableaux avec des chiffres ( bon là j'avoue moi ça me dépasse un peu je suis plus dans le concret moi)

    Bon j'aime mieux vous dire qu'ils sont passés par des moments de stress mais heureusement pour eux j’étais toujours là pour faire le clown et pour les faire rires dans les moments de doute.

    20151006 105205

    L'association était née, le projet défini on allait mettre en place un projet d'insertion en horticulture en vente et en télémarketing , selon les prévisions ça correspondait à créer 5 contrats de travail les deux premières années.

    Il nous manquait plus qu'à trouver l'endroit.

     

     

    Lire la suite

  • Consommer selon ses besoins

    Consommer selon ses besoins
    
    Acheter des produits peu transformés et emballés
    Il faut néanmoins privilégier les produits en vrac, en conditionnement économique, afin de réduire les emballages, et les produits locaux, afin de modérer les émissions de gaz à effet de serre liées aux transports.
    Par ailleurs, les produits ayant subi diverses transformations (céréales soufflées, riz précuit...) représentent aussi généralement des transports et des dépenses énergétiques supplémentaires (passage par les sites de mise en valeur agroalimentaire) : plus le produit acheté est proche du produit brut, plus il est écologique et, souvent, nutritif ; car les produits raffinés perdent souvent de leurs qualités (comme les farines blanches, qui contiennent moins de fibres, de minéraux et de protéines que les farines complètes).
    
    Acheter à la coupe ou en vrac
    Faire ses courses sans s'encombrer des emballages et en ne prenant que la juste quantité, c'est possible : il suffit d'acheter à la coupe, au détail ou en vrac... ça peut également être une bonne façon de faire des économies sur de nombreux produits. En effet, contrairement aux idées reçues, les produits à la coupe sont souvent moins chers que les produits déjà emballés.
    De plus, cela permet de réduire nos déchets d'emballages !
    
    Pour les achats de charcuterie, boucherie, crèmerie, poissonnerie... Vous pouvez commencer par les rayons qui servent à la coupe ou au détail.
    Pour les fruits, légumes, légumes secs, céréales... Préférez les produits en vrac
    Acheter au fur et à mesure
    En moyenne, 26% de notre nourriture finit à la poubelle, n'achetez pas en quantité importante si vous n'êtes pas vraiment sûr(e) de pouvoir finir. Les fruits et les légumes, même dans le réfrigérateur perdent vite leurs vitamines et se flétrissent (MEDD, 2004).
    
    L'eau en bouteille n'est pas indispensable
    L'eau courante en France est souvent d’excellente qualité, bien que depuis quelques temps une polémique enfle sur la présence d'aluminium en quantité trop importante. Boire l'eau du robinet permet d'épargner à notre environnement les bouteilles en plastique. Si vous achetez de l'eau, réutilisez les bouteilles, ou achetez-en de plus grandes (comme celles de 2 ou 5 litres).
    Si l'eau fournie par votre commune vous semble douteuse et/ou a un goût de chlore prononcé, vous pouvez opter pour une carafe filtrante ou un filtre adaptable au robinet de votre évier. A base de charbon actif, ces filtres sont une source de pollution bien inférieure aux bouteilles en P.E.T et améliorent sensiblement la qualité de l'eau.
    Notons enfin qu'il faut sept litres d'eau pour fabriquer une bouteille en plastique...
    Source : notre-planete.info, http://www.notre-planete.info/ecologie/eco-citoyen/eco_alimentation.php

  • Pourquoi faut il proteger l'environnement ?

    On parle de plus en plus de protection de l'environnement. En quoi sommes-nous concernés ? Quel impact cela a-t-il sur notre quotidien ? 

    Protéger l'environnement, c'est préserver la survie et l'avenir de l'humanité. En effet, l'environnement est notre source de nourriture et d'eau potable. L'air est notre source d'oxygène. Le climat permet notre survie. Et la biodiversité est un réservoir potentiel de médicaments. Préserver l'environnement est donc une question de survie.

    Lire la suite

  • Il pleut il pleut bergère

    « En avril, ne te découvre pas d’un fil ; En mai fais ce qu’il te plait ». Cette année, le début du dicton s’avère exact alors que la deuxième partie (en mai fais ce qu’il te plait) est remisée à plus tard. La terre gorgée d’eau fait parfois  pourrir les graines et notamment les haricots qui attendent la fin du mois de mai pour être semés «  Qui sème ses haricots à la saint Didier, les récolte par poignées »  ce dicton est toujours valable mais rien ne vous empêche de protéger vos graines sous abri. Il en est de même pour les tomates, poivrons, aubergines, concombres, melons,  courgettes…la culture sous abris est inévitable pour hâter les récoltes. Sous serre, tunnel ou châssis, les  plantes sont protégées des intempéries, poussent plus rapidement et sont nettement moins malades.

    Sécher la terre
    Lorsqu’il pleut presque tous les jours, il est difficile de travailler la terre du potager et des massifs de fleurs. Résultat les herbes indésirables en profite pour étouffer les cultures. Profitez d’une éclaircie pour griffer entre les rayons, la terre remuée sur 1 à 2 cm détruit les plantules en moins d’une heure au soleil. Si vous envisagez un semis, attendez le lendemain pour semer vos graines.  Dans une terre fraiche, semez à la volée les radis et la salade sans enterrer les graines. Jetez simplement une poignée de terreau par-dessus.  
    Bon à savoir 
    Creusez une tranchée suffit pour assainir  partiellement une parcelle de terre. Pendant les périodes pluvieuses, il se remplit d’eau et draine le terrain. Si le terrain reste gorgé d’eau, creusez une fosse perdue plus profonde et remplissez-la de graviers, galets, tuiles concassées… pour capter l’eau excessive sur une courte durée. Une découpe de gazon autour des massifs et allées a le même effet.  

    Multiplier vos plantes sous la pluie
    Grace à l’humidité, les boutures sont plus faciles à réaliser. Un gourmand de tomate planté directement en terre est capable de s’enraciner en moins d’une semaine. Coupez des jeunes pousses (sans fleur) de lavandes, hortensias, géraniums, fuchsias, surfinias,  bidens que vous piquez en terre avec un peu de terreau, ils reprennent en moins de 10 jours maintenues à l’étouffé pendant tout ce temps.  Cette technique est valable après la casse accidentelle d’une jardinière de fleurs.   

    Est-il trop tard pour planter ces pommes de terre ? 
    Les pommes de terre peuvent se planter jusqu’en juillet à condition qu’il s’agisse de plant de l’année précédente. En attendant la plantation, étendez vos plants de pommes de terre à la lumière pour que les germes se développent sans trop s’allonger (ne les laissez pas en sac). Si les germes sont longs plus de 10 cm, coupez-les à 5 cm du tubercule pour qu’ils se ramifient et soient plus solides. A la plantation, posez délicatement les pommes de terre au fond du sillon sans casser les germes.

     Que faire après un orage de grêle ? 
    Les feuilles hachées, les fruits picotés, les fleurs cisaillées… ne laissez pas en état vos plantes, coupez les rameaux ou tiges endommagées, elles repartiront sur de nouvelles bases. Un rosier remontant taillé en vert fleurit ou refleurit un mois plus tard. Il est de même pour la plupart des arbustes à floraison estivale. 

     

  • Le blog de Jaya

    Coucou,

    moi c'est Jaya je suis les yeux et les oreilles de l'association. Je crois même que - en toute modestie - on peut considérer que je suis la pierre angulaire de cette association sur la nature et le jardin d'ailleurs j'aide souvent mes maitres à creuser des trous dans des endroits dont ils n'avaient pas encore imaginé le potentiel !

    Oui je crois qu'on peut dire qu'en quelque sorte je suis l'inspiratrice  !...

    Enfin bon je ne voudrai pas me vanter mais une chose est sure :

    Je vois tout ce qui se passe moi et en tant que Berger Allemand j'entends tout aussi et je vais tout vous raconter de mon point de vue

     

    Jaya 1

    Lire la suite

  • Les insectes pollinisateurs

    Les insectes pollinisateurs
    nous en mettent plein la vue

    Connaissez-vous le point commun entre le cacaotier et la tomate, le cerisier et la courge, le caféier et le pommier ? Leurs précieux fruits et légumes ne tiennent qu’à la fascinante rencontre entre leurs fleurs et des insectes. Partons à la rencontre de ces pollinisateurs !

     

    Insecte 2                  Insectes 3

    Beaucoup d’indifférence, un soupçon de crainte et du dégoût. C’est ce que les insectes nous inspirent trop souvent. Il y a bien quelques exceptions, comme les papillons colorés qui déroulent leurs trompes au cœur des fleurs. Mais globalement, les insectes sont peu appréciés alors qu’ils sont indispensables au bon fonctionnement des écosystèmes et à notre bien-être. Laissons de côté nos préjugés et découvrons des insectes dont le labeur quotidien nous apporte beaucoup. Par une belle journée ensoleillée, n’avez-vous jamais contemplé le ballet incessant d’insectes volant de fleur en fleur ? Ils papillonnent, ils bourdonnent, ils s’activent… Mais que font-ils ?

    Attirés par la forme, la couleur, l’odeur des fleurs, ces insectes sont à la recherche de nourriture, pour eux ou pour leur progéniture : ils viennent prélever le nectar ou le pollen. En volant de fleur en fleur, ces insectes nous rendent gracieusement un service vital. Ils transportent involontairement le pollen d’une fleur jusqu’à une autre fleur et assurent ainsi la pollinisation de nombreux végétaux. Lorsqu’un grain de pollen est déposé sur le pistil d’une fleur de la même espèce, cela permet la fécondation d’un ovule puis la formation d’un fruit contenant des graines. Le bilan ? Tomates, cerises, courges, café, pommes, mais aussi carottes et oignons, autrement dit de quoi remplir nos assiettes.

    35 % de ce que nous mangeons dépend de la pollinisation par les insectes

    Plus de 80 % des plantes à fleurs (ou angiospermes) dépendent directement de la pollinisation par les insectes. Dans l’agriculture, cela concerne la production de fruits et la production de graines. Au total, environ 35 % de ce que nous mangeons est lié à l’action de ces insectes, y compris des denrées coûteuses comme le cacao, le café et des épices !

    Dans le même temps, certaines activités humaines, en particulier l’utilisation excessive de pesticides et la dégradation des milieux naturels, sont responsables d’un déclin de l’abondance et de la diversité des insectes pollinisateurs. À ces causes s’ajoute le réchauffement climatique qui contribue à modifier les conditions de vie des espèces. Par exemple, une floraison plus précoce peut ôter de précieuses ressources alimentaires à des populations d’insectes pollinisateurs qui s’affaiblissent, voire disparaissent. C’est un engrenage puisque la majorité des plantes à fleurs dépendent des insectes pollinisateurs pour leur reproduction : ce qui affecte les pollinisateurs affecte les plantes à fleurs… et inversement. Nos productions agricoles en pâtissent également.

    Pour les protéger, il faut mieux les connaître. Qui sont ces insectes qui nous rendent gracieusement un service si précieux ? Comment peut-on agir en leur faveur ?

    Lire la suite

  • La biodiversité

    La biodiversité

     

     

    La biodiversité, contraction de biologique et de diversité, représente la diversité des êtres vivants et des écosystèmes : la faune, la flore, les bactéries, les milieux mais aussi les races, les gènes et les variétés domestiques. Nous autres, humains appartenons à une espèce – Homo sapiens – qui constitue l’un des maillons de cette diversité biologique.
    Mais la biodiversité va au-delà de la variété du vivant ! Cette notion intègre les interactions qui existent entre les différents organismes précités, tout comme les interactions entre ces organismes et leurs milieux de vie. D’où sa complexité et sa richesse

  • Que puis-je faire pour protéger l'environnement ?

     

    Il y a une multitude de petits gestes que chacun de nous peut poser à la maison chaque jour pour contribuer à protéger l’environnement. Voici une liste de suggestions qui vous aideront à participer activement à cette tâche.

    L’eau

    L’eau est une ressource précieuse. Pour réduire votre consommation d’eau, vous pouvez :

    • Fermer le robinet pendant que vous vous brossez les dents ou que vous vous lavez les mains.
    • Installer un aérateur de robinet ou encore une pomme de douche à faible débit, ce qui peut réduire de moitié la quantité d’eau que vous utilisez.
    • Garder une carafe d’eau dans le réfrigérateur pour que vous ayez toujours de l’eau fraîche à portée de la main. Ça vous évitera de faire couler l’eau du robinet. 
    • Attendre que le lave-vaisselle soit plein avant de le mettre en marche.
    • Prendre des douches plus brèves.

    Les produits toxiques

    De nombreux produits chimiques sont nocifs pour les humains, les animaux, les plantes et l’environnement. Il est donc important de réduire autant que possible leur utilisation et d’en disposer adéquatement. Essayez de vous rappeler de :

    • Bien lire les étiquettes et éviter autant que possible les produits toxiques.
    • Utiliser de préférences des produits naturels tels que le vinaigre et le bicarbonate de soude pour nettoyer, ou encore un des nombreux produits non toxiques sur le marché.
    • Ne pas jeter d’appareils électroniques tels que les téléphones cellulaires ou des objets comme les piles, les bonbonnes de propane et les contenants de peinture dans les déchets. Il est important de les amener à un centre de collecte spécialisé.

    Les déchets

    La plupart des municipalités en Ontario ont des programmes de recyclage. Il faut en faire une utilisation maximale pour détourner le plus possible de déchets des sites d’enfouissement.  Il y a aussi d’autres moyens de réduire la quantité de déchets que vous produisez. En voici quelques uns :

    • Acheter des produits durables et réutilisables plutôt que des produits jetables ou de qualité inférieure.
    • Réparer les objets brisés ou abîmés avant d’en acheter d’autres.
    • Éviter d’acheter des produits avec beaucoup d’emballage.
    • Acheter des produits en vrac autant que possible.
    • Apporter votre propre sac d’épicerie réutilisable afin de réduire l’utilisation de sacs en plastique.

    Le jardin

    Les pesticides sont désormais interdits en Ontario parce qu’ils sont considérés toxiques pour l’environnement, les humains et les animaux.

    Vous pouvez trouver dans les centres de jardinage ou sur Internet (voir les liens ci-dessous), des conseils sur des moyens naturels de contrôler les pestes dans votre jardin. Aussi, lorsque vous ajoutez de nouvelles plantes, choisissez des espèces qui ont besoin de peu d’eau. Les plantes indigènes se contentent généralement d’une quantité minime d’eau et sont bien adaptées à notre milieu.